SOLEIL ET DÉMONS —   230 pages - ISBN 978-2492894008 - 19,99 € 

Un groupe de conjurés se réunissent pour organiser le déclenchement de la révolution devant conduire leur pays à l'indépendance. Ils sont sept et créent le Front de Libération Nationale. Au même moment, les soldats français, aux lendemains de la bataille de Dien Bien Phu, quittent l'Indochine à bord du paquebot le Pasteur. Parmi les passagers, se trouve Roger, un jeune sergent de la légion étrangère, qui va rejoindre sa nouvelle affectation. Depuis quelque temps, Nicole, la jeune fille du général commandant la légion à Sidi-Bel-Abbès, ayant fini ses études secondaires, envisage d'aller à Paris en Faculté des Lettres. Soudain, le jour de la Toussaint, dans les Aurès ont lieu les premiers attentats de la rébellion du FLN. Le même jour, alors qu'il n'a pas encore quitté l'ancienne colonie française, le commandant de bataillon Jeanpierre apprend qu'il lui ait confié la mission de créer le 1er Régiment Étranger de Parachutistes. Le soir de Noël, lors du bal organisé à cette occasion, Nicole revenue de Paris, fait la connaissance de Michel, un Lieutenant fraîchement sorti de Saint-Cyr. Pendant ce temps, après un long voyage passant par le canal de Suez, Roger arrive à Alger. Parallèlement, la rébellion débutée dans les montagnes du Sud-Est commence à s'étendre et préoccupe tant les militaires que les politiques. Alors qu'ils sentent très bien que les événements vont les impliquer, Nicole et Michel, deviennent amoureux et se marient. Ils vont rejoindre la base de Zeralda que vient de créer le commandant Jeanpierre qui va choisir pour nom de code radio, celui de : « Soleil ». Les sales hostilités vont vraiment commencer et des démons vont se combattre dans le djebel.

230 pages
Langue Français
Date de publication 15 juin 2021
Dimensions 15.6 x 1.32 x 23.39 cm

ISBN-9782492894008

Livre 1/5 de la suite LES MARCHEURS DU DIABLE

 
 

 

 

NOUVELLES DU FRONT  248 pages - ISBN 978-2492894015 - 19,99 € 

Ce second tome des Marcheurs du Diable, n'est pas un panégyrique voulant exalter la gloire des différents participants des combats de ce que l'on désigne sous l'appellation de « Guerre d'Algérie ». Toutes les figures ou personnalités évoquées ont réellement combattu lors de ce long conflit. De tous les personnages de cette suite de récits, se détachent les figures mémorables des principaux responsables du Front de Libération Nationale et du Parti Communiste Algérien. La narration de ces années de sueur et de sang oblige à suivre également les parachutistes du 1er Régiment Étranger de Parachutistes et la mystique figure de leur chef : Pierre-Paul Jeanpierre. Dans un monde démoniaque et le renforcement de deux puissances antagonistes les « Nouvelles du Front » ont pour but d'unir les héros aussi opposés que les bérets verts du 1er REP, ou les moudjahid de l'ALN.
Les récits commencent lorsque, en 1956, l'aspirant Henri Maillot, membre du Parti Communiste Algérien déserte de l'armée française pour rejoindre les rangs des nouveaux révolutionnaires de l'Armée de Libération Nationale. Suivent ensuite une collection de portraits des membres actifs du Front de Libération Nationale. Répondant aux ordres de leurs chefs et particulièrement à ceux du commandant Pierre-Paul Jeanpierre, les légionnaires parachutistes affrontent les forces rebelles. Les massacres de civils à El Halia et de militaires à Palestro obligent, entre autres, les éléments du 1er Régiment Étranger de Parachutistes à riposter avec vigueur aux commandos de l'ALN. Le surprenant détournement de l'avion transportant cinq chefs de la rébellion met fin à cette suite de « Nouvelles du Front» dans une narration faite sans prise de parti.

248 pages
Langue Français
Date de publication 20 juillet 2021
Dimensions 15.6 x 1.42 x 23.39 cm
ISBN-9782492894015
Livre 2/5 de la suite Les Marcheurs du Diable

 
 
 

 

RUE DE LA GRENADE   238 pages - ISBN 978-2492894046- 19,99 € 

L’exécution capitale d'un rebelle met le feu aux poudres. Une bombe placée en pleine Casbah augmente la colère des indigènes. Pendant ce temps-là, la France et ses alliés, pour libérer la circulation maritime dans le canal de Suez, attaquent l’Égypte. À Alger, les conjurés du FLN et des communistes conçoivent des bombes meurtrières. Le gouvernement fait appel à l'armée et particulièrement aux parachutistes pour interrompre le processus d'une grève et juguler les séries d'attentats aveugles. Le chef des révoltés est interpellé, puis exécuté. La rébellion urbaine, bien qu'aidée par les militants libéraux, catholiques ou communistes, s’essouffle.

 3/5 de la suite LES MARCHEURS DU DIABLE

238 pages

LangueFrançais
Date de publication 12 janvier 2023
Dimensions 15.24 x 1.37 x 22.86 cm
ISBN-9782492894046

LES ABDERAMES   237 pages - ISBN 978-2492894060 - 20,00 € 

À minuit, Zohra Driff jeune étudiante, militante du Front de Libération Nationale, rentre à la Casbah d'Alger pour annoncer à Yacef Saadi que leur chef vient d'être tué par les Français. Yacef, auquel Zohra ne cache pas son attirance, devient ainsi le maître de la ville. Avec une petite équipe de terroristes, il va organiser toute une série d'attentats aussi variés que dramatiques. Malgré ce climat incertain, un étudiant anonyme raconte son amour pour une jeune fille. Pendant ce temps, le colonel Jeanpierre et son 1ᵉʳ régiment étranger de parachutistes continuent la guerre totale dans la région montagneuse qui entoure Alger. Au même moment, l'ethnologue de renom Germaine Tillion et la jeune avocate Gisèle Halimi participent activement à obtenir la prescription de la peine de mort. Les responsables civils et militaires d'Alger font appel aux parachutistes pour en terminer avec ces terroristes, dans lesquels se sont introduits des partisans habilement retournés. Après plusieurs opérations dans la vieille cité, le colonel Jeanpierre vient à bout de tous les éléments hostiles. La traque de la dernière cellule, dirigée par Ali la Pointe, se termine dramatiquement dans la rue des Abderames.

Fait partie 4/5 de la suite LES MARCHEURS DU DIABLE

237 pages

Langue Français

Dimensions 15.24 x 1.37 x 22.86 cm
Date de publication 19 août 2024
ISBN 9782492894060

 

 

MARCHE AUX LIONS -  209 pages - ISBN 978-2492894077 - 19,00€ 

Ce livre comporte la suite de deux récits concernant la Guerre d'Algérie.

1er récit :La bataille de Timimoun opposa, de novembre à décembre 1957, les troupes du Front de libération Nationale et celles de l'armée française, principalement le 3e Régiment de paracutistes coloniaux sous les ordres du liedutenant-colonel Marcel Bigeard. Vers Timimoun, au mois d’octobre 1957, des goumiers désertent après avoir massacré leurs cadres européens. Les déserteurs rejoignent une unité de l'Armée de Libération Nationale. Le 8 novembre 1957, un convoi et son escorte de légionnaires sont attaqués. Le 21 novembre, les rebelles sont localisés et encerclés dans le désert du Tademaït par le 3ème RPC. Le sergent-chef René Sentenac est blessé à mort au cours de l’opération Timimoun I, lors du premier accrochage le 21 novembre 1957. Son agonie est alors immortalisée par le photographe Marc Flament. Près de lui, le lieutenant Pierre Roher commandant la section appelle les secours. Le lieutenant est tué à son tour peu après ainsi que l'infirmier Roland Fialon par un sniper ennemi embusqué à 400 mètres au nord de leur position[

2e Récit: La bataille des Frontières est l'ensemble des opérations militaires menées principalement sur la Frontière algéro-tunisienne, du 21 janvier au 28 mai 1958, par les Unités parachutistes de l'armée française contre les tentatives de franchissement en force du barrage de la ligne Morice par les combattants algériens de l'ALN, la branche armée du FLN, stationnés, armés et entraînés en Tunisie

Le théâtre d'opérations principal est défini par les couloirs de pénétration à partir du « Bec de canard » dessiné autour de Ghardimaou, de part et d'autre des monts de la Medjerda, vers Souk-Ahras (Marché des lions) et Guelma. Les forces engagées par l'ALN à partir de sa base de l'Est, représentent la valeur de trois bataillons composés chacun de trois katibas de 250 à 300 hommes. Dans la première bataille de Souk-Ahras, de février 1958, ces unités affrontent l'équivalent de cinq régiments de parachutistes, dont le 1er Régiment étranger de parachutistes sans compter les unités de secteur et les troupes assurant la sécurité xde la ligne électrifiée, étendue sur 700 km, et jouant leur rôle d'avertisseur à chaque tentative de franchissement.

Le16 février 1958, la nouvelle organisation porte ses fruits. Les parachutistes aidés par le 18e Régiment de Dragons rattrapent deux katibas qui avaient franchi le barrage. Ils mettent hors combat 200 combattants, tués ou faits prisonniers, et récupèrent un important stock d'armes. Les 25-26 février, puis le 4 mars, d'autres katibas sont décimées dans les mêmes conditions.

Après un passage en force, le18 mars, plus au nord, vers Mondovi, une forte katiba venue de Tunisie et étrillée (113 tués) par onze compagnies héliportées, un autre échec, cette fois-ci d'Ouest en Est, a lieu à la même date par la katiba locale de la région de Souk-Ahras qui tente de se réfugier en Tunisie. À moitié détruite, elle est finalement interceptée. Du 28 avril au 3 mai plus de mille combattants se lancent dans une nouvelle phase offensive pour tenter de faire passer deux katibas à destination des wilayas I et II et une unité de transmissions destinée à la wilaya I. C'est un des paroxysmes de la guerre d'Algérie que cette seconde bataille de Souk Ahras dont l'essentiel se déroule dans le djebel d'EI-Mouadjène, allant jusqu'au corps à corps. Seul le tiers de la katiba d'acheminement de la wilaya III réussit à percer pour rejoindre, après une odyssée de 700 km, le cœur de la Kabylie. En mai 1958, les forces françaises déciment encore plusieurs centaines de combattants. C'est au cours de la poursuite d'une « bande » infiltrée que le lieutenant-colonel Jeanpierre, chef de corps du1er REP, trouve la mort, au sud-ouest de Guelma, le 29 mai 1958.

Suite et fin 5/5 de la série les Marcheurs du Diable

  1. Nombre de pages 209 
  2. Langue Français
  3. Date de publication 24 mars 2025
  4. Dimensions 15.24 × 1.22 × 22,86 cm
  5. ISBN : 9782492894077

SANGS DE MARS   234pages - ISBN 978-2492894039 - 19,99 € 

Au moyen Âge, on mettait en scène des drames religieux, des épisodes de la vie des saints et de la Passion du Christ. Ces représentations pouvaient durer plusieurs heures, elles portaient le nom de Mystère. Généralement, cela se déroulait sur le parvis des églises. Il n'existait pas, à proprement parler de décors, la ville, les rues pouvaient en prendre l'aspect et en tenir la place. Du 23 au 26 mars 1962 à Alger eurent lieu deux Mystères. Le premier se déroula dans le quartier de Bab-el-oued. Le second fut donné devant le parvis de la Grande Poste d'Alger et dans la rue d'Isly. Le18 mars 1962, le Président de la République française annonce à la télévision la fin unilatérale des opérations militaires françaises en Algérie. En réponse à cette déclaration surprenante, le 20 mars, le général Raoul Salan, chef d'une association clandestine d'opposition au pouvoir en place : l'Organisation de l'Armée Secrète, appelle les combattants de son groupement à « harceler toutes les positions ennemies dans toutes les grandes villes d'Algérie ». L'objectif de l'OAS est de contrer la mise en œuvre des prétendus accords, en provoquant le soulèvement commun des européens ou des musulmans d'Algérie et des unités de l'armée française qui rejettent la sécession de l'Algérie par rapport à la métropole. Dans la nuit du 22 au 23 mars, à partir de 21 heures, des explosions et des rafales d’armes automatiques se font entendre dans la ville. Elles se prolongent jusqu’au matin, entrecoupées par des instants d’accalmie. La Gendarmerie Mobile est particulièrement visée. On tire un peu partout. Les Gardes Mobiles subissent des jets de cocktails molotov et de grenades, ainsi que des tirs de pistolets automatiques et de fusil-mitrailleur. Au matin, l'OAS se barricade dans son fief : le quartier populaire de Bab-el-oued et en interdit l'entrée à l'armée régulière. Le 23 mars à 10 heures, place Desaix, un camion militaire dérape sur la chaussée rendue glissante par des jets d'huile. Des appelés du contingent du train refusent de donner leurs armes à un commando OAS. Un appelé musulman prend peur et tire sur ces éléments de l'organisation, qui ripostent : des soldats du contingent sont tués et onze sont blessés. Dans la journée, Bab-el-oued, qui votait communiste avant les événements, la cité rouge dans la ville blanche, est encerclé par l'armée française. Les combats qui s'engagent contre l'OAS, va utiliser des chasseurs-bombardiers pour mitrailler les terrasses : « Il y a des morts et des blessés parmi les forces de l'ordre, et également des morts et des blessés parmi les civils .» Un blocus est mis en place par l'armée autour du quartier et celui-ci est fouillé maison par maison. Pour tenter de rompre ce blocus, l'OAS lance une proclamation à la grève générale et organise une manifestation appelant la population européenne d'Alger à se rendre à Bab-el-oued...Le trajet principal passera devant la Grande Poste, à l'entrée de la rue d'Isly.

Nombre de pages 234 
Langue Français
Date de publication16 février 2022
Dimensions 15.24 x 1.35 x 22.86 cm
ISBN-19782492894039